Chanson Les aristochats Thomas O'Malley
[Thomas O'Malley]
- J'adore manger d' la paella
- Ainsi que d' la pizza
- Mais je fais ron ron
- D'vant un gros poisson ...
(Au bord de l'eau, au pied d'un pont, Duchesse voit Thomas O'Malley qui apparait sur la rive opposée)
[Thomas O'Malley]
Oui !
C'est moi le beau Walter,
Giuseppe, Désiré,
Thomas O'Malley,
O'Malley, le chat d' gouttière.
[Thomas O'Malley]
J' suis un grand voyageur
Jouant la fille de l'air
Goûtant la complice fraîcheur
D' L'herbe printanière
(O'Malley saute sur le garde-corps du pont et traverse en direction de Duchesse)
[Thomas O'Malley]
J'adore aussi m' ballader
Dans les rues d' ma cité
(O'Malley apperçoit Duchesse du haut du pont)
[Thomas O'Malley]
- Ouais !
A tous mes frères de l'élite sociale,
comme aux petites minettes pas trop mal,
(O'Malley saute du pont sur l'arbre en fleur, au dessus de Duchesse)
[Thomas O'Malley]
J' proclame :
(O'Malley fait tomber une pluie de pétales sur Duchesse)
[Thomas O'Malley]
C'est moi le beau Walter,
Giuseppe, Désiré,
Thomas O'Malley,
O'Malley, le chat d' gouttière.
[Duchesse]
- Oh mon Dieu, monsieur,vous semblez apparenté à toute l'Europe !
[O'Malley]
- C'est vrai, j' suis un chat absolument unique !
[O'Malley]
Je suis Roi de la rue.
(O'Malley saute de l'arbre sur un rocher à côté de Duchesse)
[O'Malley]
Je fais ce qui me convient.
Je rafole d'imprévus.
La planète m'appartient
Et si vot' route est mon but,
Votre chance est unique !
(Les châtons apperçoivent O'Malley)
[O'Malley]
Callcutta ou Rome,
Je suis votre homme
N'est-ce pas ...
- ...magnifique ... qu'en dites-vous ?
[Toulouse]
- Oh ! Regardez ... un chat de gouttière !
[Marie]
- Chut ! Ecoute !
[O'Malley]
Si je n'ai que mes rêves,
J' vis heureux comme çà.
Quand j' vois la chance qui s' promène,
J' lui fais signe du doigt.
A quoi bon m' préoccuper.
Du ch'min que j' dois emprunter
Où qu'il veuille aller,
Je saurai l'aimer.
Aussi, n'allez pas vous inquiéter
Pour moi ...
Ouais !
C'est moi le beau Walter,
Giuseppe, Désiré,
Thomas O'Malley,
O'Malley, le chat d' gouttière.
[O'Malley]
C'est vrai !
Et çà, j'en suis vraiment fier.
Ouais ...
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